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CAN 2023 ou CAN 2015 ? Max Gradel révèle l'édition la plus inoubliable

CAN 2023 ou CAN 2015 ? Max Gradel révèle l’édition la plus inoubliable

Max Alain Gradel, l’ancien capitaine des Eléphants de Côte d’Ivoire, a officiellement raccroché les crampons du football international. Après avoir remporté deux Coupes d’Afrique des Nations (CAN) en 2015 et 2023, Gradel a fait une révélation surprenante sur sa préférence.

Avec Serge Aurier, Gradel a contribué à la conquête de deux Coupes d’Afrique des Nations pour la Côte d’Ivoire, un exploit dont peu de footballeurs africains peuvent se vanter. La première victoire a eu lieu en 2015, sous la houlette de la génération dorée de Yaya Touré. Max Gradel, alors jeune joueur, a apporté de la profondeur et de l’insouciance aux Eléphants d’Hervé Renard, menant finalement à la victoire contre le Ghana après une éprouvante séance de tirs au but.

CAN 2023 : Max Gradel a un lien particulier avec la victoire à domicile

Cependant, contrairement à ce que l’on pourrait penser, Gradel tient la victoire de 2023 plus à cœur. Dans une interview exclusive accordée à Canal+ Sports Afrique, la star ivoirienne, qui a joué pour l’ASSE, Toulouse et Bournemouth, a révélé que l’événement de 2023 était plus spécial pour lui.

« Franchement, non. Je pense que cela va prendre du temps pour réaliser pleinement l’importance de cet exploit. Je me demande encore si c’est vraiment nous qui avons accompli cela. Il est difficile de redescendre en Afrique, en tant que champion d’Afrique, champion d’Afrique à deux reprises. En 2015, la première CAN était spéciale car c’était la première. Mais il faut reconnaître que celle de 2023 était tout aussi spéciale, voire plus, car elle s’est déroulée à domicile, devant notre peuple. Vu les scénarios incroyables qui se sont déroulés, elle reste particulièrement mémorable« , a déclaré Max Gradel.

Le joueur s’est également ouvert sur les défis personnels auxquels il a été confronté : « Personnellement, cela a été difficile pour moi. C’était un défi d’être sur le banc, surtout lorsque l’équipe rencontrait des difficultés et que je ne pouvais pas intervenir sur le terrain pour aider mes coéquipiers. Mais il est essentiel de rester professionnel, d’être exemplaire et de respecter les choix de l’entraîneur. J’ai accepté cette situation par amour pour mon pays, sachant que je ne partais pas en tant que titulaire« .

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