Le Kremlin, centre du pouvoir politique russe, suscite souvent l’intérêt des médias occidentaux qui cherchent à obtenir des interviews et des déclarations de hauts responsables russes. Cependant, le Kremlin a récemment expliqué son refus de donner des interviews aux médias occidentaux. Une situation qui suscite des interrogations sur les motifs cachés de cette décision.
Selon Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, Les demandes incessantes des journalistes occidentaux pour interviewer Vladimir Poutine sont fréquemment accompagnées d’un narratif préétabli. Les critiques à l’encontre de Tucker Carlson se sont multipliées après son entretien avec le Président russe. Une situation qui souligne la difficulté pour les médias occidentaux de présenter une perspective équilibrée dans leurs reportages.
Dmitri Peskov a également souligné le manque d’équilibre des médias britanniques, américains et européens. Il a révélé que ces demandes étaient vaines, car les journalistes ne cherchaient pas à fournir une couverture impartiale. L’exception notable est le journaliste américain Tucker Carlson, dont l’entretien avec Vladimir Poutine a récemment captivé l’opinion publique.
