Le Togo se prépare pour des élections législatives et régionales le 20 avril prochain, et l’Union des forces de changement (UFC) est également en mouvement. Le parti, dirigé par Gilchrist Olympio et représentant l’opposition depuis 2018, vise à obtenir un bon résultat pour continuer à contribuer au développement du pays.
L’UFC est déterminée à participer activement aux élections, privilégiant la négociation plutôt que le boycott. Isaac Tchiakpé, porte-parole du parti, souligne l’importance du dialogue même avec l’adversaire politique, tout en reconnaissant que l’UFC aurait préféré des frais de candidature plus bas.
Concernant le découpage électoral, l’UFC exprime des réserves, estimant que le critère démographique seul ne suffit pas. Le parti envisage de présenter des candidats dans toutes les circonscriptions électorales pour maximiser ses chances de succès.
Les représentants de l’UFC assurent que les tensions internes ont été résolues avant le congrès statutaire d’août 2023, malgré des contestations judiciaires. Le parti affirme être solidement ancré dans toutes les régions et compte sur le soutien de la population pour les élections à venir.
