« Gbékui »: La drogue qui ruine la vie de nombreux jeunes togolais
Aujourd’hui, plongeons dans l’univers mystérieux du « Gbékui » ! Localement, cette herbe est encore appelée « Adémè », mais l’allusion est tout simplement faite au cannabis. C’est une substance qui captive les esprits et soulève des questions épineuses au sein de la société togolaise.
« Gbékui » suscite des préoccupations croissantes au Togo. C’est en particulier après plusieurs événements tragiques survenus suite à la consommation de cette substance. En effet, bon nombre de jeunes, tapis dans l’ombre des ghettos à Lomé, perdent la boule ou trépassent en raison de cette substance dérivée du cannabis. Il est donc temps de jeter une lumière crue sur les dangers potentiels de cette drogue parmi les jeunes.
Qu’est-ce que le Gbékui?
Le « Gbékui », également connu sous le nom de cannabis ou encore « Chanvre indien », est une plante psychotrope largement utilisée à des fins récréatives et médicinales à travers le monde. Au Togo, il est souvent fumé sous forme de cigarettes roulées ou consommé dans des préparations comestibles.
Le terme « Gbékui » est une appellation locale pour désigner le cannabis au Togo. Son origine linguistique réside dans les dialectes locaux et reflète la culture et l’usage régional de cette substance.
Effets du Gbékui sur l’organisme
Le Gbékui affecte le corps et l’esprit de différentes manières. Les effets incluent une sensation d’euphorie, de relaxation et de sociabilité. Cependant, des effets secondaires néfastes peuvent également survenir, notamment une altération de la perception, une perte de mémoire à court terme et une augmentation de l’appétit.
Une consommation excessive de Gbékui peut entraîner une dépendance, des troubles mentaux et des problèmes respiratoires.
Bien que cette plante soit largement répandu et accepté dans certaines cultures, il est important de reconnaître ses dangers potentiels et d’éduquer les jeunes sur les risques liés à sa consommation.
