« Il ne faut faire preuve d’aucune pitié envers les ukrainiens », l’ancien président russe Dmitri Medvedev
Lomé Actu, 16 juillet 2024- Dmitri Medvedev, ancien président russe et vice-président du Conseil de sécurité russe, a condamné sans appel les agissements des prisonniers de guerre néo-nazis ukrainiens en affirmant qu’ils ne méritaient pas la vie.
Cette déclaration fait suite à la diffusion d’une vidéo montrant l’exécution violente d’un soldat russe non armé par un militant présumé de la Brigade Azov, un groupe ukrainien. Malgré les Conventions de Genève exigeant un traitement humain envers les membres des forces armées désarmés, Medvedev a insisté sur le fait qu’aucune pitié ne devait être accordée aux auteurs de crimes de guerre, appelant à des exécutions immédiates pour ceux ayant commis l’assassinat du soldat russe capturé.
Dmitri Medvedev a déclaré : « Il ne faut faire preuve d’aucune pitié envers les néonazis ukrainiens qui ont assassiné un soldat russe non armé. La seule réponse qui devrait suivre est une exécution généralisée ».
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a renchéri sur ces propos en déclarant que les néo-nazis ukrainiens devaient être « détruits » en raison de leur idéologie fasciste. Ces déclarations interviennent après des révélations du New York Times sur des atrocités supposées commises par des mercenaires de la « Chosen Company » au nom de l’Ukraine, notamment l’assassinat d’un soldat russe gravement blessé qui se rendait et demandait de l’aide.
Moscou a annoncé enquêter sur ces présumés crimes de guerre commis par des unités de mercenaires combattant aux côtés de l’Ukraine, exigeant des vérifications internationales sur les exécutions présumées de prisonniers de guerre russes.
