Happy d’Efoulan : Tout savoir sur la descente aux enfers du chanteur camerounais

Le jeune artiste camerounais, Roger Essindi, également connu sous le nom de Happy, fait face à des difficultés en raison de sa lutte contre la toxicomanie. La vidéo virale le montrant dans un état négligé a suscité des inquiétudes, révélant une situation préoccupante pour l’artiste autrefois acclamé. Mais que s’est-il réellement passé ?

Début de carrière

À l’âge de 12 ans, il entame sa carrière musicale en tant que danseur de coupé-décalé au collège Stoll d’Akono. En 2018, il fait ses débuts en solo avec la sortie de son premier single « Tchapeu Tchapeu », qui rencontre un succès fulgurant dans le public. Cette montée en puissance se confirme avec le concept « Oh Tchapeu Tchapeu », comptabilisant plus de 200 000 vues sur les plateformes de téléchargement en seulement 6 jours, un record pour un chanteur de « Mbolè ». Le tube à succès fait craquer enfants, jeunes et adultes, propulsant Happy au rang d’attraction majeure de la scène musicale. À seulement 20 ans et en classe de Terminale, le créateur du concept « Oh Tchapeu Tchapeu » étonne par son succès précoce, éclipsant les attentes et s’affirmant comme une figure incontournable de la musique populaire camerounaise.

Succès et descente aux enfers

Après avoir connu un succès fulgurant avec ses hits tels que « Tchapeu-Tchapeu » et « Je n’ai rien fait », sa maison de production l’a abandonné en mai 2023, citant son incapacité à surmonter son addiction malgré les tentatives de soutien. Cependant, la fin de cette collaboration avec sa maison de production, Wake Up Music, dirigée par Serge Nkodo, a jeté une lumière crue sur sa bataille contre la toxicomanie.

Espoir de renouveau

Malgré les avertissements de poursuites judiciaires en cas de collaboration non autorisée, le focus est désormais mis sur l’espoir d’un renouveau pour le jeune artiste, signalé par son désir de changement et de retour à l’éducation. Malgré tout, des signes indiquent un possible tournant dans sa vie, avec des désirs exprimés de retourner à l’école, signalant un possible changement radical.

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