La police de Santiago à Chili, a ouvert une enquête après qu’une religieuse a abandonné dans la rue les restes d’une femme dans une valise.
La femme était décédée un an plus tôt, mais la religieuse avait gardé le corps pendant tout ce temps parce qu’elle ne voulait pas dire au revoir à son amie.
Lundi, un éboueur a trouvé la valise et a remarqué qu’une forte odeur s’en dégageait. Lundi, un éboueur a trouvé la valise et a remarqué qu’une forte odeur s’en dégageait. En l’ouvrant, il a découvert les restes. La police a pu localiser la religieuse après avoir visionné des images vidéo.
L’enquête s’est d’abord concentrée sur le crime organisé. Cependant, elle a révélé que deux femmes dévouées étaient unies dans un engagement d’isolement et de soins mutuels. Leur vie a pris un tournant inattendu après le décès.
L’examen médico-légal a révélé qu’il n’y avait pas de lésions traumatiques visibles, malgré les soupçons initiaux.
Lorenza avait caché le corps en raison d’une interprétation extrême de leur vœu religieux de vivre à l’écart du monde, même dans la mort.
Lorenza, connue par sa communauté sous le nom de Doña Pati, doit maintenant faire face aux conséquences juridiques de ses actes.
